À propos d’un sauveur qui en serait à naître quelque part au Québec dans la lignée des Mérovingiens, qui viendrait nous délivrer d’un joug.--- Essayons de sortir du carcan religieux, je vous prie. Les morts de masse animales se produisent pour les mêmes raisons que le taux de fécondité va s’effondrer de façon alarmante dans les trois prochaines décades, au point où l’humanité va se demander si elle n’est pas victime d’un mauvais sort et vouée à disparaitre. Le rayonnement céleste est en cause et une adaptation génétique déjà en route dans certaines sphères, sera nécessaire pour repartir la machine. C’est aux alentours de 2030 qu’une génétique adaptée devrait se manifester et fournir à l’humanité l’essence génétique qu’elle aura besoin pour le prochain millénaire. À cause de circonstances particulières en rapport avec les variations célestes, c’est au Québec que ça arrive. Mais cette mutation sera utilisée ou recréée ailleurs en y ajoutant des génétiques inappropriées issues du monde animal, incorporant des tares à dessein dans cette génétique parfaite du moment. Alors que la société nouvelle sera en émergence, des flots de ces individus de nature différente seront déversés partout, répandant ces tares, catalyseur indispensable à la réalisation d’une société divisée, déchirée dans ses choix, un atout pour la pérennité de sa soumission.
Une divine guerre si je puis m’exprimer ainsi, car tout est dans la forme. De notre culture moderne, nous sommes incapables d’envisager les raisons derrière l’obsession de la perfection du corps manifestée chez les anciens Grecs et de nombreux autres, car nous ne voyons pas de différence. Eux si, car ils étaient différents. Différents de nous et différents entre eux par des caractéristiques physiques qui sont largement disparues par élimination et assemblage racial, dominé par une élite qui se perpétue. Selon toute apparence, nous possédons aujourd’hui la bonne forme et le crime de l’homme est maintenant expié, mais ce n’est pas exactement le cas.
D’une part, si les apparences physiques se sont mariées les différences ne sont pas disparues et l’homogénéité de la race pâle est un mythe. À l’exception de ces chefs éternels et encore, nous la populace sommes tous porteur d’un éventail de petits extras qui se répercute aussi dans les caractéristiques physiques. Ici le sourcil qui se cabre à l’intérieur de l’arcade, là le visage rubicond, la tête chauve, le menton pointu, carré, et je passerai outre sur les profils de nez, d’oreilles, d’yeux et de cheveux que constitue cette si évidente « homo-géné-ité », chacun possédant son petit travers obligé caractéristique qui sait se manifester quand l’occasion se présente. Cela signifie que pendant que cette élite forçait l’image unifiée de la perfection physique au point d’en faire aujourd’hui un interdit culturel touchant les races, elle disséminait des tares de toutes les façons possibles, usant de guerres, de conquêtes et d’abus de pouvoir comme le droit de cuissage des seigneurs d’antan par exemple.
La lignée blanche de choix dans l’histoire, celle duquel émergea le nouvel homme du moment, le Jésus et aussi de nombreux autres, est celle des Samaritains dont nous proviens le nez bourbonien qui s’est affiché dans la lignée des Capétiens. Il est donc probable que ce soit là encore la nouvelle source génétique et que son porteur, dont la véritable différence ne se révèlera que dans quelques décennies et qui verra sa semence vénérée de tous, en sera à naître bientôt. Cet échéancier, les étapes qui le composent, les causes et les récurrences millénaires sont représentées sur Apokalipsus.
